Dans certaines universités, près d’un futur prof sur cinq doit retarder sa formation parce qu’il n’a pas réussi l’examen de français, alors que les exigences entourant ce test sont remises en question par des étudiants dans le contexte de la pénurie d’enseignants. Nous écoutons Anne Bernier, présidente du Syndicat des travailleurs de l’éducation de l’Est-du-Québec et membre de l’exécutif national de la fédération des syndicats de l’enseignement.